Moulins-lès-Metz (Mühlen bei Metz)
Avant 1766, province des Trois-Évêchés, bailliage de Metz.
Siège d’un fief et d’une justice haute, moyenne et basse mouvant du roi de France.
Le ban Noiron de Moulins était un ban fief, siège d’une justice haute, moyenne et basse, mouvant du roi de France, et appartenait à l’abbaye de Sainte-Glossinde de Metz.
Diocèse de Metz, arch. Val-de-Metz (cath. de Metz et le concours ; abb. de Gorze prétend y nommer à l’alternative).
En 1790, département de la Moselle, chef-lieu de canton, puis canton de Rozérieulles en l’An III, de Metz-1 en 1802 et de Woippy de 1967 jusqu’en 2015.
La commune a pour annexes les fermes de Bradin, Cainompré, Fristot et Tournebride, les fermes et châteaux de Frescaty, Grignan, la Maison-Rouge, les maisons et la ferme de Préville et les moulins de Cugnot et du Poncet.
La ferme de Bradin était une maison franche, siège d’une justice haute, moyenne et basse qui appartenait à l’abbaye de Sainte-Glossinde de Metz.
A Frescaty s’élevait, avant la Révolution, un magnifique château, maison de plaisance des évêques de Metz, construit par Monseigneur de Coislin en 1709 et détruit en 1802.
Le château et la ferme de Grignan était sur le ban Noiron de Moulins-lès-Metz, fief mouvant du roi de France ; siège d’une justice haute, moyenne et basse.
La ferme de Fristot faisait autrefois partie de la communauté d’Augny et était annexe de la paroisse de Saint-Privat.
La ferme et le château de la Maison-Rouge était annexe de la paroisse de Saint-Privat.